IA vs Humain : reconnaître une écriture artificielle

Comment distinguer l'écriture humaine de l'IA ? Guide pratique avec signaux d'alerte concrets pour détecter les textes générés artificiellement.

12 min de lecture 1980 mots
Illustration IA vs Humain - Guide détection écriture artificielle signaux alerte Force5

IA vs Humain : reconnaître une écriture artificielle - Expertise transformation numérique PME Québec Force5

Vous lisez un article, un courriel ou un travail scolaire et quelque chose cloche. Le texte est clair, mais… impersonnel. Vous vous demandez : est-ce qu’un humain a écrit ceci, ou est-ce une intelligence artificielle (IA) ?

C’est une question de plus en plus fréquente. Les outils d’IA sont puissants, mais leur façon d’écrire est fondamentalement différente de la nôtre.

À la fin de ce guide, vous comprendrez comment une IA construit ses phrases et vous aurez des indices concrets pour repérer une écriture artificielle.

Podcast

🎙️ Podcast : Discussion entre experts inspirée de cet article

Durée : 19 minutes 00 secondes

Vous préférez écouter plutôt que lire ? Nous avons préparé un podcast audio sur le sujet, avec une discussion approfondie entre deux animateurs experts qui analysent les indices concrets pour reconnaître l'écriture artificielle, les différences entre l'écriture humaine et l'IA, et les outils de détection disponibles.

📝 Transcription complète disponible : Consulter la transcription de la discussion →

1. Comment une IA construit-elle un texte ?

Contrairement à un humain qui réfléchit à une idée puis cherche les mots pour l’exprimer, une IA fonctionne par prédiction.

Imaginez que vous deviez compléter la phrase : “Le ciel est…”. Vous penseriez probablement à “bleu”. L’IA fait la même chose, mais à une échelle massive.

  1. Entraînement : Elle analyse des milliards de textes (livres, articles, sites web) pour apprendre des “schémas”. Elle calcule la probabilité que tel mot suive tel autre mot.
  2. Génération : Quand vous lui donnez une instruction (un “prompt”), elle ne “réfléchit” pas. Elle prédit le mot le plus probable pour commencer, puis le mot suivant le plus probable, et ainsi de suite, formant une chaîne de mots statistiquement cohérente.
  3. Absence de sens : C’est le point crucial. L’IA ne comprend pas le sens des mots, l’intention ou le contexte. Pour elle, “bleu” n’est pas une couleur, c’est juste le mot qui a la plus forte probabilité mathématique de suivre “Le ciel est…”. Elle assemble des mots de manière logique, mais sans aucune conscience de ce qu’ils signifient réellement.

Le résultat est souvent grammaticalement parfait, mais il est basé sur la reproduction de schémas existants, pas sur une expérience ou une intention personnelle.

2. L’intention et le style : Comment un humain construit-il un texte ?

L’humain, lui, fait le chemin inverse. Il ne part pas du mot, il part de l’intention.

  1. L’intention avant tout : Un humain écrit parce qu’il veut quelque chose : informer, faire rire, émouvoir, convaincre, ou simplement partager une pensée. Il a une idée de base et un objectif final. Les mots sont des outils choisis pour atteindre cet objectif.
  2. La structure logique (et parfois illogique) : L’écriture humaine suit une séquence. Nous posons des arguments, nous développons des exemples tirés de notre vécu, et nous construisons une conclusion. Mais cette logique est aussi humaine : elle inclut des digressions, des parenthèses (“Ah, au fait, j’ai oublié de vous dire…”) et des anecdotes qui n’ont pas un lien direct mais ajoutent de la couleur.
  3. Le “Burstiness” (La variation du rythme) : C’est une caractéristique clé. L’écriture humaine est “éclatée” (de l’anglais bursty). Pour contrôler l’émotion et garder le lecteur engagé, nous varions constamment le rythme. On va écrire une longue phrase complexe pour expliquer une idée nuancée, puis… on frappe avec une phrase très courte. Pour l’impact. Cette variation crée une musicalité que l’IA, avec ses phrases de longueur uniforme, peine à imiter.
  4. La “Perplexité” (L’imprévisibilité) : Ce terme mesure à quel point un texte est prévisible. L’IA, étant un moteur de probabilité, est très prévisible (elle a une basse perplexité). L’humain est, par nature, imprévisible (haute perplexité). Nous utilisons de l’ironie, des sous-entendus, des métaphores surprenantes, un vocabulaire unique et nos propres tics de langage. C’est ce qui donne une “voix” ou une “signature” à un auteur.
  5. L’humour (La frontière du vécu) : L’IA n’a pas d’humour. Elle peut expliquer une blague (par exemple, identifier un jeu de mots), mais elle ne peut pas en créer une qui soit drôle et contextuelle. L’humour humain repose sur des mécanismes qu’une IA ne maîtrise pas :
    • L’incongruité : La blague est une rupture de logique. C’est une surprise qui connecte deux concepts qui n’ont rien à voir ensemble. L’IA, étant une machine logique, est conçue pour éviter les ruptures de logique.
    • Le contexte culturel partagé : L’humour est social. Une blague fonctionne parce que l’auteur et le lecteur partagent des références, des frustrations, des stéréotypes ou un “vécu” commun.
    • Le double sens : L’humour joue sur l’utilisation intentionnellement “erronée” de mots, de concepts ou sur des doubles sens. L’IA voit ces doubles sens comme des erreurs de probabilité à corriger, et non comme une source d’ironie.

En résumé, un humain n’écrit pas le mot le plus probable ; il écrit souvent le mot inattendu. L’objectif n’est pas juste de transférer de l’information, mais de créer une émotion chez le lecteur pour lui transférer une idée ou un concept.

3. Les différences fondamentales : IA vs Humain

La plus grande différence n’est pas la grammaire, c’est la personnalité.

  • L’écriture humaine est le reflet d’un vécu. Elle transporte des émotions, des opinions, des doutes et une culture. Un humain utilise l’ironie, fait des blagues, partage des anecdotes et possède ses propres “tics de langage”.
  • L’écriture de l’IA est logique et générique. Elle manque de vécu. Elle a du mal à saisir les nuances culturelles très spécifiques (comme l’humour québécois ou les expressions idiomatiques françaises) parce qu’elle ne les a jamais vécues.

Par exemple, un humain pourrait écrire “J’étais tellement fatigué que j’avais l’impression de pédaler dans le vide.” L’IA comprend l’expression, mais elle est moins susceptible de l’utiliser spontanément dans le bon contexte.

C’est encore plus marquant avec les expressions régionales ou le langage plus familier. L’IA aura beaucoup de difficulté à utiliser spontanément des expressions comme “laisse béton”, “c’est chelou”, ou des québécismes comme “ça prend pas la tête à Papineau” ou “je suis dans le champ”. Ces tournures sortent des schémas statistiques formels et nécessitent une compréhension culturelle vécue, chose que l’IA ne possède pas.

4. Comment détecter un texte d’IA en le lisant ? (Les signaux d’alerte)

Avec un peu de pratique, vous pouvez développer un “flair” pour repérer l’IA. Voici les signaux d’alerte les plus courants, tirés d’analyses de textes français :

  • L’uniformité suspecte : Les phrases ont souvent des longueurs et des structures très similaires. Le rythme est monotone, sans phrases courtes percutantes suivies de phrases plus longues. (C’est le manque de “Burstiness”).
  • La “règle des trois” : Une tendance à structurer les arguments en listes de trois. “Voici trois raisons…”, “Il y a trois avantages…”, “On peut le voir de trois façons…”. C’est un schéma logique et propre. Un humain, lui, sera plus variable : il aura peut-être deux, cinq ou sept raisons, mais pas toujours exactement trois. Cette prévisibilité du “trois” est un signe d’IA.
  • Les phrases de remplissage : L’IA utilise des formules creuses qui n’ajoutent aucune valeur, comme “Dans le monde actuel…”, “Il est crucial de comprendre que…” ou “Dans le paysage numérique en constante évolution…”.
  • Les métaphores lyriques et vagues : Une tendance à utiliser des images poétiques qui sonnent bien mais ne veulent rien dire de concret. Si le texte ressemble à un discours de motivation un peu ridicule, méfiez-vous. Par exemple : “Dans ce monde merveilleux où l’IA promet de changer le cours de votre vie…”, “Plongez au cœur d’un océan de possibilités infinies…” ou “Comme un phare guidant l’humanité vers un avenir radieux…”
  • Les fausses oppositions : L’IA adore les comparaisons binaires simplistes, du type “Ce n’est pas seulement X, c’est aussi Y” ou “Ce n’est pas une menace, c’est une opportunité”.
  • Le langage générique (et contagieux) : Le texte utilise beaucoup d’adjectifs vagues et positifs (“innovant”, “pratique”, “performant”) sans donner de détails concrets. On le voit aussi avec l’abus de superlatifs (comme l’anglicisme “insane” ou “incroyable” pour tout décrire) qu’une IA identifie comme “performants”. À force d’être répétés, ces mots perdent leur sens et deviennent un tic de langage générique, que les humains se mettent ensuite à copier.
  • L’absence de “Je” (Prise de position) : L’IA évite de prendre position car elle n’a pas d’opinion propre. Elle abuse donc des tournures impersonnelles (“Il est important de noter que…”). C’est un point subtil : un consultant expérimenté peut aussi choisir de présenter des faits neutres au début (“Voici les faits”). Mais la différence est cruciale. L’humain, pour diriger une salle de C-Level, finira par prendre position en disant “Je pense que…” ou “Ma recommandation est…”. L’IA, elle, est incapable de faire ce pivot stratégique vers une opinion authentique.
  • Le ton trop parfait : Le texte est grammaticalement impeccable, mais sonne trop formel ou poli pour le contexte (par exemple, dans un commentaire de blogue). Il n’y a pas d’erreurs humaines naturelles ou de “tics” personnels.
  • L’abus de ponctuation : Une utilisation excessive de certains connecteurs ou signes de ponctuation, notamment le tiret cadratin (—), pour séparer les idées là où un humain utiliserait une virgule, un point-virgule ou commencerait une nouvelle phrase.
  • L’abus d’emojis (surtout en contexte) : C’est un signe courant, surtout sur les réseaux sociaux. L’IA a appris que les emojis “augmentent l’engagement” (ex: 🚀, ✨, 🔥) et les utilise de manière excessive. Est-ce qu’un humain fera des emoji partout ? (à part ma fille adolescente) la réponse est non. Une publication LinkedIn professionnelle où chaque point d’une liste commence par un emoji coloré (✅, 🎯, 💡) est suspecte, là où un humain aurait sûrement utilisé un simple point noir. Ceci n’est pas un interdit d’utiliser des émojis, mais de bien les utiliser comme repères visuels. Une IA n’a pas besoin qu’on attire son attention ; pour elle, le texte est plat, sans variation d’importance. Elle ne sait pas vraiment où mettre l’accent. Un humain veut attirer l’œil du lecteur sur une phrase, un point, un texte…

5. Existe-t-il des détecteurs de IA ?

Oui, des outils comme Lucide.ai, Scribbr ou Isgen existent et sont spécialisés pour le français. Sur la scène internationale ou anglophone, on retrouve d’autres grands noms comme GPTZero, Copyleaks, Originality.ai ou encore Turnitin, ce dernier étant massivement utilisé dans le milieu académique.

Nous n’en nommons que quelques-uns sans en faire la recommandation. Selon mes tests personnels, leur fiabilité est douteuse et c’est une situation dramatique, car des cégeps et de grandes universités ont voulu établir un outil standard pour les professeurs et ils ont choisi certains outils qui, au final, sont défaillants.

Même les créateurs de ces outils admettent qu’aucun détecteur n’est précis à 100%. Ils sont particulièrement vulnérables face aux nouvelles versions des IA, qui s’améliorent constamment pour paraître plus “humaines”. Rien ne rivalise avec l’œil humain pour se forger une opinion.

La seule garantie est votre jugement.

6. Comment diriger votre IA pour qu’elle écrive plus comme un humain ?

Si vous utilisez une IA pour vous aider, vous pouvez lui donner des directives (des “prompts”) pour “humaniser” le résultat. C’est un peu comme diriger un acteur. Nous expliquerons cette utilisation plus en détail dans un autre blogue, mais pour l’instant, voici quelques idées :

  • Demandez de l’« Authenticité » : Dites-lui d’adopter un ton spécifique (ex: “Écris avec un ton humoristique et pédagogue”). Demandez-lui d’utiliser “je” et de partager une opinion.
  • Demandez de “l’Empathie” : Dites-lui de s’adresser directement au lecteur avec “vous” et de poser des questions rhétoriques pour impliquer le lecteur.
  • Demandez une “Structure” naturelle : Dites-lui de “varier la longueur des phrases”, “d’éviter les listes à puces remplies d’emojis” et surtout “d’éviter les listes de trois éléments” pour casser la monotonie.
  • Demandez de la “Spécificité” : Le plus important. Demandez-lui d’ajouter des “détails concrets”, un “exemple précis” ou une “anecdote” pour illustrer son propos.

Conclusion

La différence entre l’écriture humaine et celle de l’IA se résume à ceci : l’humain exprime une expérience vécue, tandis que l’IA reproduit un schéma appris.

L’IA est un outil de productivité incroyable, mais peu importe l’usage que vous en faites, il faut à tout prix garder l’humain dans la boucle. Pas seulement pour détecter des “hallucinations”, mais pour garantir que l’IA est juste, précise, et que le texte final exprime bien ce que vous voulez dire.

Cet “humain dans la boucle” peut opérer à deux vitesses :

  1. L’humain écrit, l’IA révise : Vous rédigez le premier jet et l’IA devient votre assistant pour corriger ou améliorer le texte.
  2. L’IA écrit, l’humain est l’auteur : Pour vaincre la page blanche, l’IA produit un premier jet basé sur vos demandes explicites. Vous agissez alors comme l’auteur qui modifie, coupe, et réécrit pour y mettre votre touche personnelle. L’IA aurait pu écrire une métaphore : “c’était pendant l’horreur d’une profonde nuit où l’horrible réalité de la page blanche vous terrasse !”. Mais voilà, c’est Claude (humain) qui a fait une métaphore douteuse… pas l’autre Claude (IA).

Dans tous les cas, ce n’est pas magique et cela demande du travail. Mais c’est le prix à payer pour produire du texte de haute qualité qui ne passera pas pour du “AI Slop” (du contenu générique de basse qualité).

La prochaine étape ? Essayez-le par vous-même ! Prenez un texte que vous soupçonnez d’être généré par une IA et tentez de trouver les indices que nous avons vus aujourd’hui.

Conseil boni :

Chaque IA a ses forces et ses faiblesses. Selon le travail à accomplir, je choisis celui le mieux approprié. Attention, je vous donne mes impressions en date d'octobre 2025. Le paysage change chaque jour, alors si mon opinion vous paraît injuste… vous avez peut-être raison.

Claude (IA) est célèbre pour sa créativité. Il est reconnu comme le meilleur rédacteur de textes dont le style est éloquent. C’est optimal si vous avez à écrire un roman ou une histoire pour vos enfants, mais pour un compte rendu d’affaires pour votre patron, il arrive que la créativité ne soit pas la bienvenue. Pour “vibe coder” ou pour “brainstormer”, c’est aussi un avantage. Par contre, Claude n’aura aucun scrupule à vous inventer des citations et/ou des cas d’espèce qui illustrent votre propos, mais qui n’ont aucun fondement dans la réalité.

**Exemple concret :** Voyez les conséquences possibles d'une telle erreur dans notre analyse d'un rapport gouvernemental truffé de fausses citations.

Claude est comme un pur-sang. Entre les mains d’un jockey de talent, c’est un assistant incroyable. Entre les mains d’une “matante” ou d’un “mononcle”, on appelle l’ambulance, car l’accident ne tardera pas.

Gemini est célèbre pour sa rigueur à suivre vos instructions. Au fil des versions, il est clair que Google a augmenté la « température » de l’IA pour qu’elle soit plus créative et souffre des mêmes défauts que ses compétiteurs, mais sur demande dans votre prompt, ajoutez : “Sois factuel, vérifie que les cas cités sont réels et validés de plusieurs sources” et la magie de sa rigueur se fera sentir. Sa rigueur fait de lui un atout si vous “vibe codez”, rien de tel que Gemini pour vous nettoyer du code malpropre ou pour déboguer.

ChatGPT est une IA sérieuse, mais elle oscille entre la créativité et l’utilité. OpenAI aimerait que ChatGPT soit tout pour tous…. Et ça se paie avec des réponses et textes occasionnellement douteux. Il y a dans ChatGPT un désir d’être utile qui dépasse de loin Gemini, mais au prix de la sécurité de vos données. En date de publication, sa capacité à vous faire du matériel multimodal est très, très prometteuse ! Deux vitesses. Fenêtre chat pour usage général… mais en mode API pour coder… OpenAI a fait du travail incroyable et son engin est brillant.

Les autres dignes de mention…
Copilot a deux modes. Le mode Microsoft ou indirectement le mode GPT… Ces plateformes ont des fenêtres de contexte plus limitées, ce qui favorise les hallucinations.
Manus, un petit dernier très prometteur, multimodal et puissant… En lien avec une compagnie de Singapour qui a aussi des liens avec des investisseurs chinois. Ça vaut la peine d’essayer. Je dois avouer qu’à date Manus mérite l’essai. Manus a la capacité d’entreprendre très bien des tâches ultra complexes. Je suis en train de le challenger avec des tâches que ChatGPT, Claude ou Gemini ne complètent pas ou refusent de faire. De plus il y a moins de censure que sur les IA mainstream. Étonnant pour un produit lié à la Chine.

Deepseek, si votre matériel est public, car on ne sait pas ce que la firme chinoise fait avec les données. Puissant pour le “vibe coding”, mais je n’ai toujours pas le réflexe de m’en servir comme assistant et ses limitations multimodales sont trop limitées. Je l’ai exploité en mode local sur mes propres GPU et c’est très bien.

Et que dire de Qwen… Connu pour Qwen Code 3… Un génie du “vibe coding” ! Cette IA qui est le fruit du travail d’Alibaba brille dans des situations de “vibe coding” mais elle peut faire bien plus que ça. Par contre l’offre pour s’en servir en mode Chat est limitée. Si vous avez la fibre de jouer avec du code investiguez Qoder qui sans le dire vous donne accès à l’univers de Qwen.

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Claude Roy

Claude Roy

Architecte de la transformation numérique avec 40+ ans d'expérience en innovation technologique. Pionnier de l'industrie qui a anticipé et façonné les grandes vagues technologiques : distribution numérique (IMAX), jeu mobile (Gameloft), télécommunications et FinTech. Expert en conseil stratégique et redressement d'entreprise par la transformation numérique.

B.Sc. en Physique - Université de Montréal • Études de deuxième cycle en physique des semi-conducteurs - Université de Montréal • Membre de l'Association québécoise des technologies (AQT) • Membre du Réseau ActionTI • Formateur et conférencier - HEC, UQAM • Conférencier - Ordre des administrateurs agréés du Québec • Conférencier - Ordre des comptables professionnels agréés du Québec (CPA) • Expert en conseil stratégique en technologie (C-Level) • Spécialiste en gestion de la performance et analytique • Expert en transformation organisationnelle • Entrepreneur et bâtisseur d'entreprises technologiques • Expert en redressement d'entreprise par la transformation numérique • Spécialiste en agro-technologie et IdO • Expert en applications mobiles et portails web • Pionnier en facturation mobile asynchrone

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